1. |
Intro
00:40
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2. |
Never Trust
02:41
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Je n'aurai plus confiance en toi
Hors de ma vue, laisse-moi vivre
Tes mots n'auront plus aucune prise
Ces paroles toujours répétée
T'as tout cassé sans aucune dignité
Maintenant tu ne sera plus rien pour moi
Ces mots calmés avec ardeur
Me hantent et me guettent, si futiles
Aucun remord, tu n'es plus rien
Ces paroles toujours répétée
T'as tout cassé sans aucune dignité
Maintenant tu ne sera plus rien pour moi
Laisse moi vivre
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3. |
123
02:37
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Cent-vingt-troiiis
Les ombres prennent le pouvoir sur le quotidien, oubli de la gloire
Je n'aurai qu'un mot à la bouche, ton nom, ton nom et le nous
Et moi je peine, mes pensées s'évadent,
Tout autrui est fade, mais au loin tout reste de toi
Mes pensées reviennent, non je n'ai pas
Non je n'ai pas rendu mon dernier souffle
Cent-vingt-troiiis
Les sons s'amplifient, la vision rétrécie,
Le court-métrage n'aurait su mieux te convenir
Situation passagère, départ attendu
Situation ne plait guère, l'antinomique aurait plu
Et moi je peine, mes pensées s'évadent,
Tout autrui est fade, mais au loin tout reste de toi
Mes pensées reviennent, non je n'ai pas
Non je n'ai pas rendu mon dernier souffle
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4. |
Abandon
02:35
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Tes pensées ne seront que la distinction prononcée
Du mal-être des damnés, des remords des condamnés
Le ressentiment d'amertume, les détruits et les tues,
Le reste ne sera qu'à oublier, hors de leur vue
Et moi je n'aurai pas de regrets
Ton abandon de la précédente aversion,
Mais toi, tu as gardé ton silence
Lente destruction de l'osmose tant prônée
Martyrise tes semblables, maîtrise tes syllabes
Contrôle ta colère, rencontre ton chagrin
Je n'aurai pas ta posture, tes pensées éclopée
Ton idylle ne sera pas mienne, ne me retienne
Et moi je n'aurai pas de regrets
Ton abandon de la précédente aversion,
Mais toi, tu as gardé ton silence
Lente destruction de l'osmose tant prônée
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5. |
On Arrête de Croire
02:39
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Les mots sur les ondes, les paroles imagées,
Négligent le primordial, passent sous silence le convenable,
Possession tangible, satisfaction par l'objet,
Réaction intelligible, est-ce pour ça qu'on nait ?
Alors on arrête de croire
Alors on arrête de croire
Tout s'écroule, sous le poids de la misère qu'on s'impose
Et tout s'enlise, si seulement tu vivais tes rêves
Et moi je reste là, à te regarder
T'es la plus belle chose qui me soit arrivée
Dans ce monde matériel on oublie l'essentiel
Alors qu'il est posé juste à nos pieds
Alors on s'arrête de croire
Alors on s'arrête de croire
Tout s'écroule, sous le poids de la misère qu'on s'impose
Et tout s'enlise, si seulement tu vivais tes rêves
Alors on arrête de croire
Alors on arrête de croire
Alors on arrête de croire
Alors on arrête de croire
Tout s'écroule, sous le poids de la misère qu'on s'impose
Et tout s'enlise, si seulement tu vivais tes rêves
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